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A propos - origine des noms - Plans Les Touches - Droit à l’image

vendredi 24 mars 2023 , par Fred, Henri

Voir : Extraits de Presse Conseil Municipal avant 2022

Origine des noms

  • Voir : " Les Touches avec Google Maps "
    Le coin de l’histoire - Bulletin Municipal N° 57 - Janvier 2007

    Le coin de l’histoire - Bulletin Municipal N° 58 - Juillet 2007

    Le coin de l’histoire - Bulletin Municipal N° 59 - Janvier 2008

    Le coin de l’histoire - Bulletin Municipal N° 60 - Juillet 2008

    Les noms des villages et lieux-dits

    Centre Bourg Les Touches

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    Photos et Vidéos sur Les Touches avec drone par André Boucq

    Usage d’un aéronef télépiloté de loisir

    L’image des biens

    Le droit à l’image

Bulletin Municipal N° 57 Janvier 2007

Le coin de l’histoire Bulletin Municipal N° 57 Janvier 2007

Un grand nombre d’entre nous habite dans les villages ou hameaux de la commune. Leurs noms nous sont très familiers... et nous n’y faisons souvent plus attention. Aujourd’hui, l’association Les Champs d’Honneur vous propose de partir à la découverte de leur origine. Vous remarquerez que ces noms ne sont souvent pas le fruit du hasard. Bonne découverte...

Les Touches le mot touche vient de tusca = bois et révèle le défrichement des bois et forêts qui recouvraient autrefois les terres de la contrée bouquets d’arbres que l’on a laissés debout entre deux espaces défrichés.

L’Abbaye (hameau encore présent jusque vers la fin du XIX : siècle, aujourd’hui intégré au village de La Cohue) semblerait indiquer la présence de moines par le passé.

Les Bâtisses toponyme forestier qui désigne des taillis, un bois consacré à la coupe. Mais, il peut également désigner des bâtiments d’habitation ou d’exploitation disparus, sans caractères particuliers.

Beauvais toponyme caractérisant l’endroit d’où on a une belle vue.

La Bellangeraie domaine de celui qui s’appelle BELLANGER, variante de BÉRANGER, nom de baptême d’origine germanique BERENGARI (beren - ours et gari = prêt pour le combat).

La Bergerie de l’ancien français "bergerie", abri pour les moutons.

La Bemardière domaine de celui qui s’appelle Bernard. nom de baptême d’origine germanique BERNHARD (bern = ours et hard - dur).

Le Bignon désigne une source qui jaillit à cet endroit ou bien une fontaine. Bignon est synonyme de lieu humide.

Le Bois de Nay pourrait correspondre à l’ancien français “nais”, désignant un routoir (fond de vallée, lieu humide dans lequel on rouissait le chanvre). Cependant, on trouve souvent des déformations ou des suppressions de partie du nom, par paresse de le prononcer en entier, Ainsi, il se pourraît que ce soit ‘le bois de naissance”, héritage possédé par droit de naissance.

Le Bois Geffray : le bois du nommé Geffray, variante de Geoffroy, nom de baptême d’origine germanique Gotfrid (got = du peuple goth ou god = dieu et frid = paix).

Le Bois Nouveau : du latin novalia, toponyme qui désigne un bois nouvellement défriché.

Le Bois Souchard : toponyme indiquant un bois coupé parsemé de souches (pour La repousse ?). Le mot souche est d’origine gauloise.

La Bonnœuvre : nom de lieu d’origine gauloise issu du thème bonna = village, fondation et briga = colline, hauteur, avec parfois le sens de fortification. C’est donc le village sur la colline.

La Bouinelière : domaine de celui qui s’appelle BOUINEAU, déformation de BOUHINEAU où BOHIN, surnom de bouvier, celui qui avait pour tâche de garder les bœufs. Ou alors cest un diminutif de Bouin, Variante de BODIN, nom de personne d’origine germanique, dérivé de la racine bod = messager.

La Bréchoulière : toponyme pouvant venir du verbe brécher : se déliter ; terre de mauvaise qualité, terrain grumeleux.

La Brunière : vient de l’adjectif bruni ou alors domaine appartenant au sieur BRUN, qui peut désigner celui qui a les cheveux bruns, mais aussi un nom de baptême d’origine germanique Bruno (brun = brillant).

Les Buttes : toponyme qui désigne une colline ou une élévation de terre.

La Callaudière : c’est une déformation de La Couillaudière (utilisé jusqu’au début du XIX’ siècle), domaine de celui qui s’appelle COUILLAUD et qui désigne sans doute, disons Le sans ambiguité, celui qui a de grosses couilles latin coleus = sac de cuir, dont le pluriel neutre colea avait déjà ce sens).

Le Calvaire (c’est La partie du bourg correspondant à l’emplacement du cimetière et Les maisons qui l’entourent) indique la présence d’un monument élevé pour commémorer la Passion de Jésus-Christ. Le calvaire exista jusqu’en 1887, année de l’agrandissement du cimetière. Pour le remplacer, la statue de Notre-Dame-de-Lourdes fut érigée au début du XX siècle.

Carcouet : toponyme pouvant signifier le village proche du boïs où La fortification dans ou près du bois ; construit sur Car, variante de ker = village ou peut-être kaer = village fortifié et koad = Le bois.

La Censive : ensemble de familles regroupées en hameau formant une unité fiscale avec devoir de payer le cens, redevance due au seigneur du lieu.

La Chapelle Saint-Jacques : lieu d’implantation d’une chapelle dédiée à Saint-Jacques-de-Compostelle et à Saint-Philippe. Aujourd’hui, la chapelle n’existe plus. Elle a été détruite en 1936... À son emplacement, il y a maintenant une statue de Saint-Jacques.

Le Château : du latin castellum, d’où vient chastel en vieux français, et qui désigne un camp, une place forte, une forteresse, Est-ce que cette construction défendait une voie ancienne (romaine) passant à proximité ?

La Chatelière : domaine de celui qui s’appelle CHATEL. Ce mot a un sens juridique au Moyen-Âge : il désigne des biens, un patrimoine, des possessions mobilières, un rapport en argent, la perception des fruits d’un travail.

Bulletin Municipal N° 58 Juillet 2007

Le coin de l’histoire Bulletin Municipal N° 58 Juillet 2007

L’association “Histoire & Patrimoine” vous propose de poursuivre La découverte de l’origine des noms des villages touchois. Ces noms existent depuis très Longtemps, puisqu’on estime que Les premiers datent des XII et XIII siècles, quand les seigneurs concédèrent une partie de Leurs terres.
C’est d’ailleurs à cette époque qu’il est fait mention pour la première fois de la paroisse des Touches dans le “Pouillé du Diocèse”, en 1287. Les défrichements des XIVème et XVème siècles seront à l’origine de La fixation de nouveaux noms.

Le Breil : (hameau intégré au bourg, appelé également la Vieille-Cure) toponyme très fréquent désignant un petit bois (du gaulois brogilo = Le petit bois).

Chaudron : toponyme qui semblerait indiquer un lieu creux, en forme de chaudron, ou une mare profonde.

La Chauminette : hameau disparu, situé à proximité du Vivier) toponyme désignant une chaumine, c’est à dire une petite chaumière.

La Chaussée : (hameau disparu, situé entre Le Vernay et le Tertre, sur le cours du ruisseau Montigné) indique la présence d’une levée de terre, d’une digue, Ceci est avéré par la présence d’un moulin à eau, ruiné durant la première moitié du 19° siècle.

La Chère : (dans les actes anciens parfois La Chaire, La Chaise, La Chèze, la Chèse) c’est une déformation de chaise, issue du Latin casa = maison, qui a pris le sens de domaine ou groupe d’habitations, et parfois le sens de “maison en ruine”

Les Chesnaux : désigne Le lieu où lon rencontre un bois de chênes.

La Chicaudière : (hameau intégré au Gressun durant le 20° siècle) domaine de celui qui s’appelle Chicaud, variante du nom Sicaud, nom de personne d’origine germanique, Sicwald ou Sigwald (sig = victoire et waldan = gouverner).

La Claie : toponyme indiquant la présence d’une clôture, d’une barrière naturelle ou pas).

Le Clos Jaunet : indique une parcelle fermée plantée d’ajoncs, le mot jaunet étant dans l’Ouest souvent employé pour désigner cette plante.

La Cohue ; sorte de tribunal, ou événement ancien d’ordre juridique pourrait avoir un lien avec la présence de l’Abbaye, située à proximité). Le terme désigne presque toujours La place d’un marché, les halles, un lieu de rassemblement où il y a la cohue !

La Cormeraïs : toponyme indiquant le lieu où pousse Le sorbier (appelé parfois cormier).

La Coudraie : toponyme indiquant le leu caractérisé par La présence de coudriers, de l’ancien français désignant Le noisetier.

La Ducheté : (ou Duchetaie) peut-être une variante de Duchet (= petit duc, peut-être surnom lié à l’oiseau). Il y à très peu d’explications à ce nom...

L’Échauderie : désigne une terre chaude, en principe sablanneuse.

La Favrie : indique souvent la lieu de culture de La fève, du latin faba. Mais Le terme peut également désigner un forgeron, du Latin faber.

La Fontaine : (à pris ce nom au cours du 19 siècle ; le hameau s’appelait auparavant la Pécaudière... nom qui s’est déplacé de quelques kilomètres à lOuest) indique le lieu où l’on rencontre une fontaine, ou tout simplement une source.

Le Fonteni : (ancien nom de la Maison Rouge) c’est Le lieu où il y a une source.

Le Fougeray : de l’ancien français “fougerai”, indiquant le lieu où poussent des fougères.

La Fouquinière : domaine de celui qui s’appelle Fouquin, nom de personne d’origine germanique, Folco (folc = peuple).

La Gérarderie : domaine de celui qui s’appelle Gérard, nom de baptême d’origine germanique, Gerhard (ger = lance et hard = dur), popularisé par plusieurs saints médiévaux.

La Gicquelière : domaine de celui qui s’appelle Gicquel, forme contractée de Jézéquel, en vieux breton Judicaël, Saint et Roi de Bretagne qui se fit moine et se retira à Gael, où il mourut au 7ème siècle,

Le Gressun : (parfois Gressin) gressin désignait autrefois une rangée de vigne, parfois une claie. (à suivre...)

Bulletin Municipal N° 59 Janvier 2008

Le coin de l’histoire Bulletin Municipal N° 59 Janvier 2008

L’association « Histoire & Patrimoine » vous invite à avancer encore un peu plus dans la découverte de l’origine des noms des villages touchois.

La Guérinière : domaine de celui qui s’appelle Guérin, nom de baptême d’origine germanique, Warino, formé sur la racine war = protecteur.

La Guittière : domaine de celui qui s’appelle Guittet, diminutif de Guy, nom de baptême d’origine germanique, Wid = bois, qui a été popularisé par saint Guy d’Anderlecht, abbé belge du XI siècle.

Les Hauts-Bois : signale sans doute üne forêt pentue que lon a divisé symboliquement en haut et bas.

La Herpinière : domaine de celui qui s’appelle Herpin, qui est une variante du nom Harpin et désigne apparemment un joueur de harpe.

La Jarriais : toponyme indiquant une terre ingrate ; ou alors un lieu planté de chênes.

Les Jouberderies : domaine de celui qui s’appelle Joubert, nom de personne d’origine germanique, Godberht (god = dieu et berht = célèbre)

La Joustière : domaine de celui qui s’appelle Jousse, de l’ancien nom de baptême issu du latin Judocus, popularisé par saint Josse, fils du roi breton Judicaël, ermite en Bretagne au 5ème siècle.

La Lardière : désigne un terrain argileux

Léchetout : deux hypothèses, l’une provenant d’un jeu de mots pour désigner une auberge où l’on donnait mal à manger : il fallait tout lécher pour se nourrir, Autre sens possible : déformation du mot laische ou lesche qui en vieux français désigne Le roseau.

Le Lion d’Or : il s’agit certainement du nom d’un hôtel, où d’une auberge... jeu de mot qui signifie : « au Lit on dort ». Le hameau est très récent car on ne le rencontre qu’à partir du 19° siècle.

La Maison-Neuve : comme son nom l’indique, c’est une construction neuve (à noter qu’il y a deux hameaux qui portent ce nom sur Le territoire communal).

La Maison-Rouge : (nom ancien : Le Fonteni) maison caractérisée par sa couleur, qui peut indiquer soit une maison couverte de tuiles, soit ayant des murs en briques. Cette construction a également pu être peinte en rouge pour se voir de loin, c’était le cas de nombreux gîtes d’étapes le long des voies anciennes. Enfin ce peut-être un endroit ayant vécu un crime particulier.

Le Malassan : (hameau disparu dans le courant du 19 siècle, situé entre La Lardière et La Chère) le nom commence par mal qui signifie mauvais ; la deuxième partie du mot doit être tronquée, dans ce cas l’explication est assez dure... ce peut être

  • a) un nom déformé de Malassagne : mauvaise sagne = terre humide.
  • b) Malassart : mauvais essart = lieu mal défriché.
  • c) Malassense : mauvais cens = mauvaise rente foncière.

La Marchanderie : domaine de celui qui s’appelle Marchand, du latin mercatus (marché), qui a donné le verbe mercatare, dont le participe présent mercatantem est devenu marcheant, puis marchand.

La Martelière : domaine de celui qui s’appelle Martel, ancien sumom d’un forgeron, utilisant au quotidien « le marteau à battre Le fer ».

Les Mazures : toponyme indiquant le lieu d’implantation d’un vaste domaine agricole, avec habitations, cultures, terres en friches, et bois : l’équivalent du manse médiéval, du latin mansus (en occitan : mas).

Le Meix : c’est une forme de Mée, toponyme qui équivaut en langue d’oïl à l’occitan mas (= domaine agricole). Ce nom vient de mansus, époque franque, qui désignait une petite ferme ou habitation rurale ; il
s’est transformé en masus, et à partir du XIV’ siècle a donné meix. Ce fut le siège d’une seigneurie, fusionnée plus tard avec la seigneurie de Cornullier-Lucinière.

La Michetière : domaine de celui qui s’appelle Michet, diminutif du nom de baptême Michel, nom d’origine biblique, mikha’el (= celui qui est à l’image de Dieu).

La Miennière : il s’agit d’une déformation de minée, nom courant dans notre région et qui désignait autrefois une terre ensemencée avec une mine de blé (Valeur variable selon les régions). La mine où minée est une mesure agraire.

Le Mont-Juillet  : du latin monticellus, autrement dit La colline dédiée au nommé Jules (Julius). La tradition rapporte que le mont doit son nom à Jules César, Les Touches se trouvant à la croisée de deux voies romaines importantes ; de plus le point de vue dont on jouit à son sommet aurait, dit-on, été utilisé comme observatoire par Les romains.

Montagné : anciennement Montigné (comme le nom du ruisseau qui y passe) : c’est un nom de domaine formé sur Le nom du personnage Latin Montigniacus. Ce fut longtemps le siège d’une ancienne seigneurie, à cheval sur Les communes des Touches et Nort-sur-Erdre.

Bulletin Municipal N° 60 Juillet 2008

Le coin de l’histoire Bulletin Municipal N° 60 Juillet 2008

L’association "Histoire et Patrimoine" vous propose d’achever la découverte de l’origine des noms des villages touchois.

La Noë : de l’ancien français noe ou noue, toponyme désignant une terre basse, une prairie marécageuse, du gaulois nauda, « prairie humide »... la Noë Rouge pourrait être nommée à cause de la couleur de son sous-sol argileux et la Noë Blanche également à cause de la nature du sous-sol... moins probable dans ce dernier cas car le calcaire est plutôt rare dans la région !

Les Noues (ou Noës) : même origine que La Noë.

La Noustière : peut venir de noue, ou bien de l’ancien nom nouzille qui désignait dans la région la noisette.

La Papionnière : plusieurs explications à ce nom ; domaine de celui qui s’appelle Papion, qui évoque certainement le papillon, maïs il est difficile de connaître la motivation d’un tel sobriquet au moyen âge : on peut penser au surnom d’un homme léger, volage. Ou alors peut également être une déformation de papinière, qui désigne un terrain boueux.

Le Pavillon : (hameau aujourd’hui disparu, situé entre la Favrie et la Chapelle Saint Jacques) toponyme désignant au Moyen Age une tente, une construction précaire ou un dais surmontant un autel.

La Pécaudière : domaine de celui qui s’appelle Pécaud, variante de Picaud. Cest un dérivé du mot « pic » et plusieurs interprétations sont possibles : celui qui manie un pic, un surnom lié à l’oiseau (le pic ou Le pivert) ou encore un toponyme (sommet pointu).

La Peignerie : domaine de celui qui s’appelle Peigné, certainement un nom de métier, celui qui peigne la laine, ou plus généralement un cardeur.

La Perrocinière : (hameau disparu, situé à proximité du Meix) toponyme qui semble composé de perraux, perron = parcelles rocailleuses, voir rocheuses, et de sagne, signe = marécage.

La Poupardière : désigne souvent, dans nos départements de l’Ouest, une plantation de peupliers (comme pouplardiere, poupaudiere, poupiniere).

La Ramée : toponyme désignant un endroit boisé, ombragé, un bosquet.

La Réauté : Les mots ré, ray, roi, désignent un gué... sans doute à cause de la proximité du ruisseau Montigné !

La Rigaudière : domaine de celui qui s’appelle Rigaud, nom de baptême d’origine germanique, Ricwald (ric puissant et waldan = gouverner). Ce fut Le siège d’une seigneurie jusqu’à la révolution française.

La Rivière : toponyme indiquant le lieu de passage d’une rivière... Le problème c’est qu’il n’y a pas de rivière dans Le hameau, tout au plus un petit cours d’eau ! ce pourrait donc êtrre un terme moqueur. Rivière désigne également en ancien français la rive, ou un lieu de chasse au gibier d’eau.

Les Rochette : toponyme indiquant un terrain rocailleux.

La Rognouse : désigne un terrain rocheux ou un talus.

Saint-Louis : lieu nommé en hommage à Saint Louis (Louis IX, Roi de France de 1226 à 1270). Nom de baptême d’origine germanique, Hlodowig hlodo = renommée et wig = combat). Chez les Mérovingiens, la forme équivalente était Chlodowic, qui a donné Clovis, puis Louis.

Sainte-Marie : lieu nommé en hommage à la Sainte Vierge, mère du Christ, de l’hébreu miryam, voyante, prophétesse.

La Simonnerie : (c’est aujourd’hui La partie du bourg correspondant à l’emplacement de la Poste, et les maisons qui l’entourent) domaine « à la Simone », matronyme dérivé de Simon, nom de baptème de l’hébreu shim’ ôn (= entendeur). Cest le nom originel de saint Pierre, ainsi que celui de l’apôtre Simon Le Zélote (ou Le Cananéen).

Le Tertre : toponyme indiquant une colline.

La Varenne : toponyme indiquant tantôt une terre en friche, ingrate ; tantôt un terrain sablonneux ou alluvial, plutôt fertile.

Le Vernay : toponyme désignant un bois d’aulnes (arbre des terrains humides) ; du gaulois verne = aulne.

La Vieillière : (parfois Viellière) toponyme se rapportant au mot ville (latin villa) avec le sens de domaine rural, puis hameau, village.

Le Vivier : désigne un bassin, un petit étang où sont élevés des poissons.

La Volerie : il y a plusieurs explications pour volerie

  • a) vole = volage, frivole.
  • b) Le lieu où l’on gardait les oiseaux de proies pour la fauconnerie.
  • c) Le volier, terme courant dans nos régions qui désigne un pied de vigne que l’on faisait grimper le Long d’un mur extérieur d’une maison ; vigne en espalier ; vigne en tonnelle.

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