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École des Garçons de 1881 à 1998

vendredi 5 août 2022 , par Fred, Henri

Historique

Historique

L’école libre des garçons fondée en 1881, n’avait à cette date que deux classes, sans logement, les Frères allaient coucher à la Cure. En Mai 1882, une 3ème classe fut élevée à la suite des deux autres pour faire corps avec elles.

Vers 1885, le nombre moyen des élèves était de 170, ce qui justifiait d’avoir 3 classes, c’est peut-être à cette époque qu’il y a eu une classe dans la basse Sacristie construite en 1884. Le dernier adjoint de la 3ème classe en Mai 1887, était présent en 1891, il avait 62 ans. Vers 1900, le nombre moyen des élèves n’était plus que de 90.

On peut penser que c’est la 3ème classe qui fut par la suite transformée en logement, comme on peut voir sur les photos : deux classes avec les portes au centre, sans doute celles d’origine, et à droite un logement.

L’historique de l’école par les Frères se termine en 1903, sans indication sur cette transformation, de même les Bulletins Paroissiaux de 1905 à 1908. Sur la photo prise sous le préau en 1922, on voit à gauche les ganivelles qui protègent la descente à la cave sous le logement, on peut alors estimer que la transformation de la 3ème classe en logement a été faite vers 1915, simple hypothèse.

L’histoire de l’école des Garçons par les Frères de 1881 à 1903

L’école libre des Touches (Loire-Inférieure) fut fondée par Mr Douillard, curé de la dite paroisse, en 1881.

Depuis longtemps, l’instruction et l’éducation des petits garçons laissaient trop à désirer.

L’école communale était alors dirigée par l’instituteur laïque Fromageau, homme fort incomplet, mais jusque là soutenu par le clergé, parce qu’il se montrait assez bon père de famille, et aussi parce qu’on craignait de le voir remplacé par un autre plus mauvais.
Déjà bon nombre de familles envoyaient leurs enfants chez les frères de Joué et de Ligné.

Mr le curé des Touches fit appel à ses paroissiens pour savoir quel était leur désir, relativement à la manière de faire donner l’instruction à leurs enfants. Une pétition leur fut présentée, et ils la couvrirent avec enthousiasme de leur signature ; elle fut présentée au maire Pelletier, pour être soumise à l’approbation du conseil municipal.

Connaissance en fut donnée au Préfet Herbette, et aux inspecteurs de Nantes et de Châteaubriant.

Mais devant le parti pris, et sous l’influence de cette loi de malheur, toutes les démarches furent inutiles pour établir des frères communaux ; cependant c’était le temps d’agir, en conséquence les démarches furent faites pour établir une école libre.

Mr Jean Leduc, propriétaire au Bourg, permis de bâtir dans un terrain qui lui appartenait, sur la route de Nantes à Châteaubriant.

Les travaux commencés le 23 juillet étaient terminés à la fin d’août... deux belles classes étaient érigées.

Pendant ce temps, le maire, l’ex instituteur Fromageau (et c’est à sa honte) et quelques autres opposants, se joignirent à l’Administration hostile pour chercher à susciter des obstacles.

Un instituteur laïque avec un adjoint furent installés, mais la population se montra disposée à soutenir ce qu’elle avait commencé.

Sept ou huit enfants suivirent les laïques, ce nombre s’élève jusqu’à 15 ; pour la plupart forcés de fréquenter l’école laïque.

Lorsque le 10 octobre 1881 les frères purent enfin commencer leurs classes, Mr le curé appela à la messe dite du St-Esprit tous les enfants ; l’instituteur laïque y amena aussi les siens au nombre de 15 ; les frères s’y présentaient avec 81 ; le succès était complet. Quelques semaines plus tard, plus de 120 enfants suivaient les 2 classes congrégationistes ; les 2 instituteurs laïques ne dépassèrent pas le chiffre de 30.

Le premier frère qui vint en qualité de directeur de l’école fut le cher frère Eusèbe. Le frère adjoint fut Mélite-Joseph (Michel Raux).

Les principaux bienfaiteurs furent les familles Pichelin, Simon Hodé, Théophile Leduc-Charrier, les Mrs Boisselot, Mr le curé, Melle Turquetty, la Société de St-François-de-Sales.

L’année scolaire 1881-82 s’écoula sans autre fait remarquable, sinon des dénonciations incessantes contre Mr le curé. Les frères firent cours d’adultes et l’année se termina par une distribution de prix solennelle.

Au mois d’août 1882, le cher frère Eusèbe, directeur, fut remplacé par le frère Célestin-Louis.

Les élèves ayant augmenté, la création d’une 3ème classe devint une nécessité ; elle fut élevée à la suite des deux autres pour faire corps avec elles. Elle ne fut ouverte seulement qu’en mai 1882.

Les frères prennent leur pension à la cure et habitent des petits appartements dans la cour du presbytère, appropriés par les soins de Mr le curé.

Une belle distribution de prix couronna la fin de l’année 1882-83.

L’ex instituteur et le maire continuaient toujours leurs dénonciations : voici textuellement une proclamation qui fut faite à la porte de l’église, et qui montre bien la rage des ennemis de l’école.

Les Touches 24 août 1884

« La rentrée des classes pour les écoles municipales aura lieu le 8 septembre prochain. Monsieur le maire engage les parents à y envoyer leurs enfants, les succès obtenus cette année aux examens de grammaire, soit par les élèves de Mr Métier qui ont reçu leurs brevets (sic), tandis que les élèves des frères n’osaient pas se présenter, soit par les élèves des sœurs qui ont reçu la digne récompense de leur travail assidu, doivent (sic) engager les parents à y envoyer de préférence leurs enfants aux écoles municipales de garçons et de filles ».

Le maire des Touches

Signé Pierre Pelletier

Cette proclamation (qui resta affichée pendant plusieurs jours à la porte de la mairie, où je la copiais) ne produisit aucun effet, mais le frère directeur, malgré sa répugnance à présenter des enfants aux examens du certificat d’études, mais sur les instances de Mr le curé, leur répondit en faisant recevoir 4 de ses élèves au dit examen du 17 juin 1884, et dont un, le jeune Baptiste Beaufils, fut reçu 1er de tout le canton.

Redoublant toujours de rage, on inventa un autre moyen de tracasserie : on accusa donc le directeur de maltraiter les élèves, et l’inspecteur primaire de Châteaubriant vint à cet effet le 28 novembre 1884 faire une enquête, se disant envoyé par le préfet et ayant en sa possession des lettres de plaintes : choses aussi fausses que mensongères. Il sortait de chez l’instituteur laïque (réduit à sa plus simple expression), et où il s’était fait faire, ou plutôt il avait dicté ou fait dicter des plaintes à un élève, qui depuis 6 mois avait quitté l’école des frères.

Le dit inspecteur (Favreau) alla jusqu’à exiger une déclaration écrite de la part des enfants qui étaient soi-disant maltraités ; les voyant de plus en plus fermés dans leurs dépositions à nier qu’ils n’étaient point frappés, il leur fit cette menace.

Défiez-vous, ceci est grave, je sais que vous mentez.

Les enfants persistèrent dans leur négation, et même à un certain moment, ils parurent tellement surexcités, qu’un peu plus ils auraient prié l’inspecteur de sortir moins que poliment. Ils signèrent en disant qu’ils n’avaient pas peur.

L’inspecteur emporta même une baguette qui servait à montrer aux cartes murales et au tableau noir, pour joindre, dit-il, à son rapport (mais surtout pour faire plus d’esclandre), et qui d’après lui servait à battre les enfants.

L’inspecteur d’Académie (Métivier) mis au courant de la vérité fit répondre par Mr Pichelin Dites au frère directeur de l’école des Touches d’être bien tranquille ; dans toute cette affaire il nÿ a pas de quoi fouetter un chat.

Monsieur le curé ayant été iniquement privé de son traitement, toujours par suite de dénonciations, les frères furent obligés de quitter la cure ; ils allèrent provisoirement coucher chez Mr Pichelin, où ils restèrent jusqu’à Pâques 1886 ; ils allèrent de là chez Mr Théophile Leduc, où ils sont encore actuellement. (juillet 1887)

Aux examens de juillet 1886, onze élèves sur onze furent reçus pour le Certificat d’études primaires ; celui qui eut le plus de points de tout le canton fut Julien Leduc, élève de l’école.

Le 28 novembre 1885 mourut le cher frère Raoul, âgé de 60 ans ; il souffrit peu de temps ; pris de maladie dans sa classe le mercredi midi, il rendit à Dieu son âme le samedi soir à 8h, après avoir reçu tous les sacrements.

Au mois de septembre 1886 vint comme adjoint le cher frère Ezéchiel qui succomba aussi le 12 février 1887.

Ce bon frère, comme le bon frère Raoul, fut peu de temps malade ; ils étaient tous les deux usés par le travail pénible du professorat.

Outre les heures de catéchisme prescrites par leurs statuts, les frères ont fait régulièrement le catéchisme aux enfants des communions, le jeudi de 8h à 9h et le dimanche de 9h à 10h et de midi et demi à 1h.

Voici les inscriptions des enfants pour chacune des années scolaires, à partir de sa fondation :

  • 1881 : 120 élèves (sans compter les cours d’adultes),
  • 1882 : 156 élèves (plus une trentaine d’adultes),
  • 1883 : 164 élèves,
  • 1884 : 170 élèves,
  • 1885 : 172 élèves,
  • 1886 : 176 élèves (plus une cinquantaine d’adultes),
  • 1887 : 168 élèves (pas de cours d’adultes cette année).

À diverses reprises la 3ème classe fut momentanément fermée par suite, d’abord du décès des deux bons frères nommés ci-dessus, et ensuite à cause de changements d’adjoints jeunes appelés à exercer dans les écoles communales, afin de pouvoir contracter leur engagement décennal.

Le pauvre et vraiment triste instituteur laïc Métier n’a plus que 7 ou 8 écoliers et pour la plupart forcés par l’administration de fréquenter son école.

Aux examens du 27 juin 1887 les frères ont encore eu 2 de leurs élèves de reçus. Leur antagoniste n’en a pas présentés.

Monseigneur Lecog, évêque de Nantes, en venant donner la confirmation dans la paroisse est venu visiter les classes deux fois ; sa Grandeur a été parfaitement accueillie à chaque fois, mais particulièrement à sa première visite qui eut lieu le ...
La cour et les classe étaient parfaitement décorées grâce au zèle de Mme Théophile Leduc et de Melle Vicet. La seconde visite de Monseigneur eut lieu le 21 avril 1887.

Le présent registre des annales a été retrouvé à la Cure en l’année 1902. Voilà pourquoi je n’ai rien pu y inscrire plus tôt. F. Mathurin.

En 1902 Mr Boisselot de la Rigaudière, qui donnait 500 Francs tous les ans pour le traitement des frères, est décédé ainsi que Melle Foucauld qui participait à la même œuvre pour 200 Francs. Ces pertes ont été cause d’un grave embarras pour Mr le curé (Cormerais), successeur de M. l’Abbé Poupard qui avait remplacé M. l’abbé Douillard, démissionnaire vers 1894. Mr Eugène Boisselot est bienfaiteur.

Depuis 1896 le nombre moyen des élèves a été de 90. Mr Léon Davy et sa femme tiennent l’école de garçons qui peut compter 40 élèves. Grâce à la tenue correcte de l’instituteur, le nombre de ses disciples se maintient. On dirait d’ailleurs que les camps sont tranchés aux Touches.

Monseigneur Emile Rouard a visité l’école paroissiale en 1900. Il fut d’une amabilité très cordiale : on voyait un excellent père entouré d’affectueux enfants. La cour et les classes furent décorées avec goût par Melle Françoise Vicet. Une cantate de circonstance, composée par M. l’abbé Maillard, vicaire, fut exécutée par les choristes considérés comme les meilleurs enfants de l’école. Un petit discours fut lu et sa Grandeur fut charmante dans sa réponse. Mr le curé était visiblement et favorablement impressionné.

Le 15 décembre 1901 MM. Macé, maire ; Rousseau, adjoint ; Gaignard, Rialland, Bidet, Bouré (Herpinière), Bouré, Potiron, Baudouin, Prampart, Foucaud, leroux, Rabine et Cottineau délibérèrent sur une demande formée par la Congrégation des Frères de l’Instruction Chrétienne de Ploërmel en vue d’obtenir l’autorisation prévue par la loi du 1er juillet 1901, pour son établissement aux Touches. Le conseil à l’unanimité donna un avis favorable à cette demande.

Mr Marchand (des Mazures) était absent. 1l a affirmé que s’il s’était trouvé à la session il aurait donné son approbation. Seul Mr Plé (Cohue), qui a fait instruire ses deux fils au pensionnat de Bel Air, n’a pas jugé à propos de venir à la session extraordinaire. Ensuite il a voulu s’amuser aux dépens de ses collègues qui lui ont démontré que ses actes étaient en contradiction avec ses allégations.

Le 3 janvier 1903, une pétition adressée à MM les députés fut mise en circulation par les soins de MM Julien Leduc, fils, et Simon Hodé, fils. Pendant cinq jours, ces braves entre les braves parcoururent la commune et de jour et de nuit pour réclamer la signature des électeurs, à l’effet de conserver l’enseignement chrétien dans l’école libre des Touches.

Le maire et le conseil municipal en tête se firent un honneur d’adjurer la chambre des députés d’accorder aux frères de Ploërmel l’autorisation demandée par eux. Mr Gaignard, seul, pour une raison qu’il ne put donner, refusa sa signature. Le total des pétitionnaires s’éleva au chiffre de 469 sur 630 électeurs. Quelqu’un, très au courant de l’opinion populaire, affirma qu’il n’y aurait pas eu 5 refus sur les 630.

Le 12 janvier Mr le maire et Mr Baudouin (Maturin), représentant la commune, accompagnés de Mr Julien Leduc (père) et de Simon Hodé (père), représentant la paroisse, portèrent la pétition dûment légalisée à Mr Ginoux-Defernon, député de Châteaubriant. Celui-ci les accui cordialement. Il écrivit ensuite qu’il avait remis le document au Bureau des Pétitions. Les journaux du pays en firent mention dans leurs colonnes.

Loi du 16 juin 1881 relative aux titres de capacité exigés pour l’enseignement primaire

disponible sur le site du Sénat

voir aussi :

Loi du 16 juin 1881 relative aux titres de capacité exigés pour l’enseignement primaire

La loi a pour but de faire disparaître les ordres d’exception au principe de l’obligation du brevet, créés par la loi du 15 mars 1850, dite loi Falloux. Il s’agit de cinq équivalences (le certificat de stage délivré par le conseil départemental, le diplôme de bachelier, le certificat d’admission dans une des écoles spéciales de l’Etat, le titre de ministre du culte et la lettre d’obédience délivrée aux institutrices congréganistes) et d’une dispense pure et simple pour les instituteurs et institutrices adjoints. Les dispositions les plus contestées sont l’équivalence de la lettre d’obédience et la dispense des adjoints. L’enjeu est clair : en 1879, 28% des institutrices congréganistes seulement sont brevetées contre 93 % pour les institutrices laïques ; quant aux adjoints, ils représentent les deux tiers du personnel enseignant congréganiste. La loi repose sur le principe simple, déjà contenu dans la loi de 1833, selon lequel, pour avoir le droit d’enseigner, il faut justifier que l’on possède au moins les connaissances élémentaires auxquelles on prétend initier.

Historique entre 1938 et 1954

Au décès de l’Instituteur M. Eugène Sevet en 1938, Directeur de l’école depuis près de 20 ans, c’est M. Augustin Chauvet qui lui succédera jusqu’à son départ à la guerre en 1939, avec M. Maurice Bourré comme adjoint.

M. Maurice Bourré sera Directeur de 1939 à 1944, (fin tragique au Maquis de Saffré le 28 Juin 1944), de 1939 à 1944 Mlle Yvette Tiger et Mlle Marie Guillet seront successivement ses adjointes.

M. Le Gall remplacera M. Bourré de 1944 à 1946, avec Mile Gisèle Deniaud comme adjointe.

De nouveau M. Augustin Chauvet en 1946 et 1947, après son retour de captivité en Mai 1945, avec Mlle Deniaud adjointe.

Le 1er Juin 1947, M. Chauvet est nommé Secrétaire de Mairie, arrivée de M. Joseph Maillard, qui restera Directeur de l’école des garçons, jusqu’en 1954, avec M. Michel Guillois comme adjoint.

L’école route de Nantes sera regroupée avec celle de la route de Joué-sur-Erdre en juin 1998

Les Touches. Sacré-Coeur : une rentrée en douceur - Quotidien Ouest-France du 09/11/1998

Pour une cinquantaine d’écoliers des Touches, la rentrée scolaire des vacances de la Toussaint a été inhabituelle. C’est ce jour-là que le nouveau bâtiment de l’école du Sacré-Coeur a êté ouvert et l’ancienne école Saint-Joseph a fermé ses portes. Cinquante élèves étaient encore présents dans ce bâtiment à la rentrée de septembre du CE2 au CM2. La municipalité, après avoir acquis l’ancien couvent adjuvant à l’école existante, avait pris la décision de le transformer en salles de classe. Mme Baudry, directrice de l’école du Sacré-Coeur, en est pleinement satisfaite. « Il y a une dizaine d’années, les deux écoles des Touches (Saint-Joseph et Sacré-Coeur), fusionnaient. Mais nous avons été obligés de garder les deux bâtiments d’école très éloignés l’un de l’autre... Aujourd’hui, nos 110 élèves de la maternelle au CM2, sont dans les mêmes locaux, ce qui est tellement plus agréable et plus facile à gérer. » Bien que certaines finitions, surtout extérieures, restent à réaliser, la nouvelle école est opérationnelle. Mme Baudy, la directrice précise : « Cette rentrée se fait tout en douceur, l’accueil des élèves s’effectue en classe afin que très rapidement, ils prennent leurs marques. » Une période d’adaptation sera observée, concernant l’aménagement de la cour de récréation. Mme Baudry : « Certains enfants n’ont pas l’habitude de jouer ensemble pendant la récréation, nous allons leur laisser le temps de bien faire connaissance. Après quoi nous allons travailler sur l’aménagement de leur aire de jeux. » Tout ici serait presque parfait si l’accès de l’école n’était pas préoccupant sur le plan de la sécurité des enfants. Mme Baudry persiste et signe : « La première chose à faire est d’éduquer les parents car lorsqu’ils déposent leurs enfants au portail de la cour, leur véhicule est garé n’importe comment et dans n’importe quel sens. » Un tracé en épi sur le parking devrait être réalisé très prochainement.Les élèves de CM1 et CM2 en compagnie de leurs institutrices et de Mme Baudry, directrice.

Vue d’ensemble, à partir de la gauche : la petite classe, la grande classe et le logement du Directeur de l’école sans doute à l’emplacement de la 3° classe

Vue d’ensemble, à partir de la gauche : la petite classe, la grande classe et le logement du Directeur de l’école sans doute à l’emplacement de la 3° classe

Les deux classes, le logement, la cour de l’école en bordure de la route de Nantes

M. Eugène Sevet avec un groupe d’élève en 1922-1923

Mlle Tiger avec un groupe d’élèves en 1941-1942

M. Maurice Bourré avec un groupe d’élèves en 1941-1942

Mlle Gisèle Deniaud avec un groupe d’élèves vers 1946

M. Joseph Maillard avec un groupe d’élèves en 1948

L’instituteur M. Michel Guillois et le directeur de l’école M. Joseph Maillard vers 1950

Photo souvenir le jour d’une cérémonie religieuse vers 1960

Archives du Passé - Bulletin Municipal - Avril 2020 - École libre des garçons

L’école des garçons route de Nantes fut fondée en 1881

La Bibliothèque sera aménagée dans les deux anciennes classes de l’école des Garçons route de Nantes en 2006

Personnel

Personnel de l’établissement
Nom de religion et de famille] Date de l’arrivée Date du changement Emploi Observations
Frère Eusèbe - Charpentier 1er septembre 1881 28 juillet 1882 Directeur - 1ère classe
Frère Mélithe - Raux 1er septembre 1881 4 mai 1883 Adjoint - 2ème classe
Frère Célestin Louis - Al. Lecoq 28 août 1882 Directeur - 1ère classe
Frère Wenceslas - Baschamp 7 mars 1882 2 octobre 1884 Adjoint - 3ème classe Changé manque d’âge et non breveté
Frère Ludovic - Bodin 5 mai 1882 12 décembre 1883 Adjoint - 2ème classe
Frère Adérit 12 décembre 1883 Septembre 1884 Adjoint - 2ème classe Changé pour maladie
Frère Pierre Marie - Petitpas 1er septembre 1884 8 septembre 1885 Adjoint - 2ème classe Changé pour contracter son engagement décennal
Frère Raoul - Pailler 1er septembre 1885 Mort le 28 novembre 1885 Adjoint - 3ème classe Mort le 28 novembre 1885
Frère Euphronius - Guy 8 septembre 1885 Août 1886 Adjoint - 2ème classe
Frère Supéry - Conaran 1er janvier 1886 Août 1886 Adjoint - 3ème classe
Frère Ezéchiel - Bataille 1er septembre 1886 Mort le 12 janvier 1887 Adjoint - 3ème classe Mort le 12 janvier 1887
Frère Lucinien - Lefeuvre 7 septembre 1886 13 février 1887 Adjoint - 2ème classe Parti sans raison
Frère Adrien - Gandin 14 janvier 1887 Adjoint - 2ème classe
Frère Joannice - Hallier 18 mai 1887 Adjoint - 3ème classe
Frère Valéry 28 août 1888 Directeur - 1ère classe La liste des adjoints manque
Frère Félicissime - Eveillard 10 novembre 1892 Directeur - 1ère classe
Frère Paulin Marie - Escudé 10 novembre 1892 Adjoint - 2ème classe
Frère Artème - J.M Gilbert 1er décembre 1893 Adjoint - 2ème classe
Frère Labre - Joseph Le Luel 27 novembre 1895 Directeur - 1ère classe Bouguenais
Frère Mathurin - Langellier 22 août 1898 Directeur - 1ère classe
Frère Gilles Marie - Danebé 4 septembre 1898 10 septembre 1900 Adjoint - 2ème classe Le Mesnil
Frère Ambroise - Raymond Leborgne 10 septembre 1900 11 mai 1901 Adjoint - 2ème classe Notre-Dame de Toutes-Aides
Frère Rodriguez Marie - Orio 11 mai 1901 7 novembre 1902 Adjoint - 2ème classe Soldat (Pontivy)
Frère Héliodore François - Moy 7 novembre 1902 Adjoint - 2ème classe

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